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Plastiques IPL Inc. annonce ses résultats financiers du quatrième trimestre et de l’exercice 2019

MONTRÉAL, March 11, 2020 (GLOBE NEWSWIRE) -- Plastiques IPL Inc. (« Plastiques IPL », « IPLP », le « Groupe » ou la « Société ») (TSX : IPLP) a annoncé aujourd’hui ses résultats financiers du quatrième trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2019 (le « T4 2019 » et l’« exercice 2019 », respectivement).

Sauf indication contraire, toute l’information financière est présentée en dollars américains. Certaines mesures, y compris celles exprimées sur une base ajustée, ne sont pas conformes aux IFRS. Voir la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS », plus loin.

Les résultats de l’exercice 2019 et du T4 2019 reflètent l’amélioration généralisée de la performance opérationnelle et financière, mesurée par le bénéfice net, le BAIIA ajusté et l’amélioration marquée des entrées nettes de trésorerie liées aux activités d’exploitation.

Principaux faits saillants

  • Le bénéfice net s’est établi à 13,9 millions de dollars pour l’exercice 2019, soit une hausse de 12,1 millions de dollars par rapport à celui de 1,8 million de dollars enregistré pour l’exercice 2018. La perte nette du T4 2019 a atteint 3,1 millions de dollars, contre 1,8 million de dollars pour le T4 2018;
  • Le BAIIA ajusté s’est fixé à 91,5 millions de dollars pour l’exercice 2019, par rapport à 78,0 millions de dollars pour l’exercice 2018, soit une hausse de 13,5 millions de dollars, ou de 17,2 %. Le BAIIA ajusté du T4 2019 s’est établi à 18,4 millions de dollars, par rapport à 17,7 millions de dollars pour le T4 2018, en hausse de 0,7 million de dollars, ou de 4,4 %;
  • Dans l’ensemble, les marges du BAIIA ajusté se sont améliorées, passant de 11,9 % pour l’exercice 2018 à 15,1 % pour l’exercice 2019, chaque secteur ayant affiché des progressions marquées. Suivent les marges du BAIIA ajusté des différents secteurs pour le T4 2019 (par rapport au T4 2018) : la marge du secteur Solutions d’emballage grand format et environnementales (« EGFE ») s’est établie à 13,2 % au T4 2019, par rapport à 9,7 % au T4 2018, celle du secteur Solutions d’emballage de produits de consommation (« SEC ») est passée de14,1 % au T4 2018 à 14,6 % au T4 2019, alors que celle du secteur Solutions d’emballage réutilisable (« SER ») s’est établie à 19,1 % au T4 2019, soit une hausse de 3,1 % par rapport à celle de 16,0 % enregistrée au T4 2018;
  • Les produits de l’exercice 2019 ont diminué de 8,0 % pour s’établir à 605,1 millions de dollars (657,8 millions de dollars pour l’exercice 2018) et ont affiché un recul de 16,0 % au T4 2019 en regard du T4 2018;
  • La diminution des produits traduit l’incidence du transfert des réductions de prix des résines aux clients, du ralentissement des activités de fabrication de contenants pour le marché de l’automobile dans le secteur SER, de la baisse de la demande de la part du plus important client européen du secteur SEC (secteur de l’électronique) et de a réduction du déploiement de contenants environnementaux dans le secteur EGFE, facteurs annulés en partie par l’apport de l’acquisition de Loomans, par des hausses de prix et par la croissance du volume dans le secteur SEC en Amérique du Nord;
  • Les entrées nettes de trésorerie liées aux activités d’exploitation se sont accrues de 70,6 millions de dollars, passant de 18,7 millions de dollars pour l’exercice 2018 à 89,3 millions de dollars pour l’exercice 2019;
  • La dette nette a été portée de 210,5 millions de dollars au 31 décembre 2018 à 297,4 millions de dollars au 31 décembre 2019, ce qui traduit en grande partie l’acquisition de Loomans et la comptabilisation d’obligations locatives à l’adoption de l’IFRS 16, Contrats de location, dont le montant s’établissait à 22,4 millions de dollars au 31 décembre 2019. La dette nette a diminué de 45,5 millions de dollars depuis le 30 juin 2019.

« La priorité que nous accordons à la reconstitution des marges et à l’amélioration de la performance sur le plan de l’exploitation continue de porter des fruits pour la Société, a déclaré Alan Walsh, chef de la direction de Plastiques IPL. Si les résultats que nous avons enregistrés au cours de la dernière année civile reflètent une très forte amélioration de la rentabilité et des entrées de trésorerie, nous prévoyons poursuivre ces progrès en 2020 grâce à de nouvelles améliorations de la performance.

Les affaires réalisées dans tous nos secteurs depuis le début de 2020 sont satisfaisantes et nous prévoyons une croissance du chiffre d’affaires pour l’exercice 2020, soutenue par l’obtention de nouveaux contrats et par des perspectives généralement stables au niveau des résines.

Nous avons récemment consolidé la totalité de nos marques et sites Web sous la bannière « IPL » afin de renforcer nos relations clients et notre présence sur le marché.

Par ailleurs, nous avons publié aujourd’hui notre rapport de durabilité pour 2019, lequel montre que notre parcours pour devenir un leader mondial des solutions d’emballages réutilisables et recyclables est désormais bien avancé. »

Résultats financiers pour le quatrième trimestre et l’exercice 2019

(en millions de dollars, sauf indication contraire) T4 2019 T4 2018 Variation
(en %)
Exercice
2019
Exercice
2018
Variation
(en %)
Produits 136,1   162,0   (16,0 ) % 605,1 657,8 (8,0 ) %
Bénéfice brut 22,9   25,7   (10,9 ) % 118,9 109,2 8,9   %
BAIIA ajusté1) 18,4   17,7   4,4   % 91,5 78,0 17,2   %
Bénéfice net (3,1 ) (1,8 ) (72,2 ) % 13,9 1,8 n. s.2)  
Bénéfice net ajusté1) 1,6   5,7   (71,9 ) % 26,2 29,7 (11,8 ) %
Résultat dilué par action (en $) (0,06 ) (0,03 ) (50,0 ) % 0,25 0,04 n. s.2)  
Résultat dilué par action ajusté pro forma (en $)1) 0,03   0,11   (72,7 ) % 0,48 0,55 (12,7 ) %
Entrées nettes de trésorerie liées aux activités d’exploitation 54,0   21,8   n. s.2)   89,3 18,7 n. s.2)  
Flux de trésorerie disponibles ajustés1) 47,0   23,0   n. s.2)   68,4 14,0 n. s.2)  

1) Mesure financière non conforme aux IFRS. Un rapprochement avec la mesure la plus directement comparable calculée conformément aux IFRS est présenté plus loin.

2) Non significatif (« n. s. »).

La Société a inscrit un bénéfice net de 13,9 millions de dollars pour l’exercice 2019, soit une hausse de 12,1 millions de dollars par rapport à celui de 1,8 million de dollars enregistré pour l’exercice 2018, essentiellement du fait de l’amélioration de la performance sur le plan de l’exploitation, neutralisée en partie par la hausse des charges financières attribuable en grande partie à l’acquisition de Loomans et à une charge d’impôt sur le résultat plus élevée.

Le résultat dilué par action s’est accru de 0,21 $ pour atteindre 0,25 $ pour l’exercice 2019, par rapport à 0,04 $ pour l’exercice 2018. Le résultat dilué par action a fléchi de 0,03 $ pour s’établir à (0,06) $ au T4 2019, par rapport à (0,03) $ au T4 2018.

Le bénéfice net ajusté s’est établi à 26,2 millions de dollars pour l’exercice 2019, en baisse de 3,5 millions de dollars par rapport à l’exercice 2018, et à 1,6 million de dollars au T4 2019, en baisse de 4,1 millions de dollars en regard du T4 2018. Le résultat dilué par action ajusté s’est fixé à 0,03 $ pour le T4 2019, en baisse de 0,08 $ en regard du T4 2018, et à 0,48 $ pour l’exercice 2019, en baisse de 0,07 $ par rapport à l’exercice 2018.

Le bénéfice brut de l’exercice 2019 s’est établi à 118,9 millions de dollars, en hausse de 8,9 % par rapport à celui de 109,2 millions de dollars enregistré pour l’exercice 2018. La marge bénéficiaire brute de l’exercice 2019 s’est fixée à 19,7 %, contre 16,6 % pour l’exercice 2018. Le BAIIA ajusté s’est établi à 91,5 millions de dollars pour l’exercice 2019, comparativement à 78,0 millions de dollars pour l’exercice 2018, alors que la marge du BAIIA ajusté a été de 15,1 % pour l’exercice 2019, en hausse par rapport à 11,9 % pour l’exercice 2018.

La marge du BAIIA ajusté du secteur EGFE a été portée de 9,7 % au T4 2018 à 13,2 % au T4 2019, celle du secteur SEC est passée de 14,1 % au T4 2018 à 14,6 % au T4 2019 et celle du secteur SER a connu une hausse de 3,1 % passant de 16,0 % au T4 2018 à 19,1 % au T4 2019. La hausse du BAIIA ajusté, qui a été enregistrée malgré la diminution des produits au T4 2019, s’explique d’abord et avant tout par la baisse des coûts des intrants de résine et la hausse des économies à cet égard, par d’autres améliorations sur le plan de l’exploitation, par l’apport de l’acquisition de Loomans et par l’incidence favorable qu’a eue l’adoption de l’IFRS 16, Contrats de location.

Les produits ont totalisé 605,1 millions de dollars pour l’exercice 2019, par rapport à 657,8 millions de dollars pour l’exercice 2018, ce qui représente une baisse de 52,7 millions de dollars, ou de 8,0 %. La baisse s’explique essentiellement par les fluctuations défavorables des cours de change de quelque 12,6 millions de dollars attribuables au raffermissement du dollar américain, par la réduction de la demande de la part du plus important client européen du secteur SEC (secteur de l’électronique), par l’incidence du transfert des réductions de prix des résines aux clients, par la baisse du déploiement de contenants environnementaux pour le marché de l’automobile dans le secteur EGFE, ainsi que par l’incidence des conditions météorologiques sur les ventes de contenants pour le marché agricole et le retard enregistré quant au déploiement du contrat visant des contenants pour le marché de l’automobile au principal fabricant de ce type de contenants dans le secteur SER, facteurs neutralisés en partie par l’apport de 37,7 millions de dollars qu’a eu l’acquisition de Loomans à l’exercice 2019, par la croissance interne continue du volume dans le secteur SEC en Amérique du Nord et par les hausses de prix dans tous les secteurs.

Les produits du secteur EGFE se sont établis à 281,5 millions de dollars pour l’exercice 2019 (181,4 millions de dollars en Amérique du Nord et 100,0 millions de dollars en Europe), en baisse de 39,1 millions de dollars, ou de 12,2 %, par rapport à l’exercice 2018. La réduction de 27,9 millions de dollars des produits du secteur EGFE en Amérique du Nord s’explique en grande partie par la baisse du volume des ventes et par les fluctuations défavorables des cours de change, facteurs neutralisés en partie par l’incidence favorable d’une hausse généralisée des prix de vente mise en œuvre au second semestre de l’exercice 2018. Les activités européennes ont généré des produits de 100,0 millions de dollars pour l’exercice 2019, soit une baisse de 11,1 millions de dollars par rapport à ceux de 111,2 millions de dollars enregistrés pour l’exercice 2018, laquelle est attribuable aux fluctuations défavorables des cours de change découlant du raffermissement du dollar américain et à la réduction des déploiements de nouveaux contenants environnementaux au cours de l’exercice 2019, alors que l’exercice 2018 avait été particulièrement vigoureux au chapitre des appels d’offres visant des contenants environnementaux, facteurs partiellement contrebalancés par l’incidence favorable d’une hausse des prix de vente et la croissance interne du volume de produits d’emballage en vrac.

Les produits du secteur SER se sont établis à 92,7 millions de dollars pour l’exercice 2019, en baisse de 33,5 millions de dollars par rapport à 126,2 millions de dollars pour l’exercice 2018. Le fléchissement des produits du secteur SER s’explique en grande partie par les retards enregistrés en ce qui a trait à l’accroissement des ventes de contenants pour le marché agricole, notamment en raison des conditions météorologiques très défavorables ayant frappé les États-Unis, par les tendances d’achat sur le marché des pommes dans l’État de Washington, de même que par la baisse des ventes de contenants pour le marché de l’automobile. La baisse enregistrée pour les produits destinés au marché de l’automobile et au marché agricole a été neutralisée par la croissance du volume de MacroTrac.

Les produits du secteur SEC ont totalisé 212,4 millions de dollars pour l’exercice 2019 (140,2 millions de dollars en Amérique du Nord et 72,2 millions de dollars en Europe), ce qui représente une hausse de 25,6 millions de dollars, ou de 13,7 %. La croissance s’explique d’abord et avant tout par l’apport de 37,7 millions de dollars qu’a eu l’acquisition de Loomans pour notre secteur SEC en Europe et par l’accroissement du volume des ventes de produits d’emballage alimentaire, facteurs neutralisés par une réduction de la demande de la part du plus important client européen du secteur SEC (secteur de l’électronique). La croissance sur le marché nord-américain traduit en grande partie l’augmentation du volume des activités existantes et les hausses généralisées des prix, facteurs annulés par l’incidence de la baisse des produits du fait du transfert contractuel des réductions de prix des résines aux clients et des fluctuations défavorables des cours de change pour l’exercice 2019 par rapport à l’exercice 2018.

Les entrées nettes de trésorerie liées aux activités d’exploitation ont augmenté de 70,6 millions de dollars pour s’établir à 89,3 millions de dollars à l’exercice 2019, par rapport à 18,7 millions de dollars pour l’exercice 2018. De même, elles ont augmenté de 32,2 millions de dollars pour s’établir à 54,0 millions de dollars pour le T4 2019, en regard de 21,8 millions de dollars pour le T4 2018. Les flux de trésorerie disponibles ajustés se sont améliorés de 54,3 millions de dollars, passant de 14,0 millions de dollars pour l’exercice 2018 à 68,4 millions de dollars pour l’exercice 2019 (de 23,0 millions de dollars au T4 2018 à 47,0 millions de dollars au T4 2019).

La dette nette a été portée de 210,5 millions de dollars au 31 décembre 2018 à 297,4 millions de dollars au 31 décembre 2019, essentiellement du fait de l’acquisition de Loomans et de la comptabilisation d’obligations locatives à l’adoption de l’IFRS 16, Contrats de location, dont le solde s’établissait à 22,4 millions de dollars au 31 décembre 2019. La dette nette a reculé de 45,5 millions de dollars depuis le 30 juin 2019.

Perspectives

Bien qu’ils représentent une amélioration marquée par rapport à ceux de l’exercice 2018, les résultats financiers de l’exercice 2019 ont été touchés défavorablement, entre autres facteurs, par la baisse des produits tirés des projets attribuable à la diminution du nombre d’appels d’offres pour des contenants environnementaux et de commandes pour des contenants de manutention en 2019, aux fluctuations défavorables des cours de change attribuables au raffermissement du dollar américain, à des problèmes contractuels de tiers, qui se répercutent sur le déploiement des contenants pour le marché de l’automobile, et à la baisse de la demande de la part du plus important client européen du secteur SEC (secteur de l’électronique).

Le dollar américain s’est raffermi pour l’exercice 2019 par rapport au dollar canadien, à la livre sterling et à l’euro, ce qui a nui aux produits et au BAIIA ajusté du T4 2019 et de l’exercice 2019 complet par rapport à ceux des périodes correspondantes de 2018. La turbulence des cours de change devrait continuer de se répercuter sur les résultats en 2020 en raison de facteurs macro-environnementaux comme l’agitation et les conflits sur la scène internationale, les négociations commerciales et les conditions définitives négociées pour le retrait de la Grande-Bretagne de l’Union européenne, entre autres incertitudes.

En Amérique du Nord, les prix moyens du polypropylène selon l’indice IHS ont reculé de 19,9 % au cours du T4 2019 comparativement au T4 2018, tandis que les prix du polyéthylène HDPE ont diminué de 5,9 % par rapport au T4 2018. En Europe, les prix moyens de la résine ICIS pour le polyéthylène et le polyéthylène ont diminué de 12,9 % et de 12,4 %, respectivement, au T4 2019 par rapport au T4 2018. Selon les perspectives à court terme, abstraction faite d’une hausse de 0,04 $ du prix du polyéthylène en Amérique du Nord en janvier 2020 et d’éventuelles nouvelles pressions à la hausse sur les prix du polyéthylène et du polypropylène au T1 2020, les prix pour le reste de l’exercice devraient être généralement semblables à ceux ayant cours à la fin de 2019. En Amérique du Nord, le prix par livre de polypropylène et de polyéthylène selon l’indice IHS avait respectivement diminué de 14,6 % et augmenté de 1,2 % au début de janvier 2020 par rapport à janvier 2019. En Europe, le prix par livre de résine ICIS pour le polypropylène et le polyéthylène avait respectivement diminué de 12,3 % et de 10,3 % au début de janvier 2020 par rapport à janvier 2019.

La Société continue de surveiller les progrès réalisés en vue de résoudre les questions qui ont récemment causé la perturbation du réseau ferroviaire canadien. La Société a deux usines de fabrication au Canada, l’une à Saint-Damien (Québec) et l’autre à Edmundston (Nouveau-Brunswick) qui dépendent fortement du réseau ferroviaire canadien. Pour l’heure, la perturbation du réseau ferroviaire canadien n’a pas eu d’incidence défavorable importante sur nos activités.

Bien que l’épidémie de coronavirus (COVID-19) n’ait pas encore eu d’incidence directe sur nos activités, en particulier sur notre usine de fabrication située à Shanghai (Chine), qui sert principalement le plus important client du secteur SEC (secteur de l’électronique), nous continuons de surveiller l’évolution de la situation qui se répercute sur un nombre grandissant de pays. La capacité des gouvernements et des organismes médicaux à restreindre la propagation du virus COVID-19 sera d’une grande importance pour empêcher les perturbations de la demande des clients, de notre chaîne d’approvisionnement, de nos activités de production et de la distribution de produits finis aux clients. Nous continuons de collaborer étroitement avec les gestionnaires d’exploitation dans toute l’entreprise afin d’assurer que les politiques, procédures et plans sont en place pour réduire au minimum les incidences négatives sur les activités.

La Société est d’avis que la croissance du chiffre d’affaires se ressaisira au second semestre de l’exercice 2020, soutenue par plusieurs contrats conclus par le secteur SEC en Amérique du Nord. Dans le secteur EGFE, la Société s’attend à une amélioration du volume des ventes des produits de manutention et de contenants environnementaux ainsi qu’à l’obtention de nouveaux contrats additionnels pour soutenir la croissance des produits à l’exercice 2020. Les conditions commerciales et la dynamique du marché de notre large gamme de contenants et de produits MacroTrac devraient soutenir la croissance du secteur SER pour l’exercice 2020.

Pour l’exercice 2020, la direction se concentre sur l’amélioration générale du BAIIA ajusté et sur le maintien de la progression des flux de trésorerie disponibles ajustés. L’atteinte de cet objectif est soutenue par la croissance attendue du chiffre d’affaires, les efforts continus sur le plan de l’efficience opérationnelle, la conclusion du programme de dépenses d’investissement d’envergure en 2019, l’évolution de nos stratégies d’approvisionnement et la stabilisation des prix des résines.

États financiers consolidés et rapport de gestion
Les états financiers consolidés de la Société et les notes y afférentes pour l’exercice clos le 31 décembre 2019 ainsi que le rapport de gestion connexe sont disponibles sous le profil de la Société sur SEDAR au www.sedar.com et sous l’onglet Relations avec les investisseurs du site Web de la Société au www.iplglobal.com.

Conférence téléphonique
La direction tiendra une conférence téléphonique à l’intention des analystes et des investisseurs le mercredi 11 mars 2020 à 18 h (heure de l’Est). Pour joindre la conférence téléphonique, veuillez composer le 1-866-996-7190 en Amérique du Nord ou le 1-800-902189 en Irlande, suivi du code d’accès 4588901. Les diapositives qui seront utilisées lors de la conférence téléphonique seront disponibles au préalable sur le site Web de la Société au www.iplglobal.com. Un enregistrement de la conférence téléphonique sera disponible jusqu’au jeudi 19 mars 2020. Pour accéder à l’enregistrement, veuillez composer le 1-855-859-2056 et entrer le code 4588901. Une transcription complète de la conférence sera publiée sur le site Web de la Société.

À propos d’IPLP
IPLP est un fournisseur de premier ordre de solutions de produits d’emballage durables principalement dans les marchés de l’alimentation, de la consommation, de l’agriculture, de la logistique et de l’environnement, présent au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Irlande, en Belgique, en Chine et au Mexique. IPLP compte environ 2 100 employés et possède des bureaux à Montréal et à Dublin. Pour obtenir plus de renseignements, veuillez visiter le site Web de la Société au www.iplglobal.com.

Énoncés prospectifs

Le présent communiqué de presse peut contenir des énoncés qui constituent ou pourraient être réputés constituer des « énoncés prospectifs ». Les énoncés prospectifs représentent tous les éléments qui ne sont pas des faits historiques. Plus précisément, les énoncés prospectifs présentés dans le présent communiqué de presse comprennent, sans toutefois s’y limiter, les dates prévues de parachèvement de certains des projets d’immobilisations de la Société, la capacité de la Société de transférer les variations importantes des prix des intrants aux clients, les attentes de la Société à l’égard des coûts des résines et du transport et les résultats des mesures prises par la Société à cet égard y compris leur incidence sur la marge brute et la marge du BAIIA ajusté de l’exercice 2020, les attentes liées au recrutement de main-d’œuvre et à la hausse du coût de la main-d’œuvre, ainsi que nos sorties de trésorerie attendues pour l’exercice 2020, les attentes de la Société à l’égard de l’incidence de la perturbation du réseau ferroviaire canadien sur ses activités, les attentes de la Société à l’égard de l’épidémie de coronavirus (COVID-19) et de son incidence potentielle sur les produits et le BAIIA ajusté de la Société, ainsi que les attentes de la Société à l’égard de la volatilité des monnaies étrangères et de son incidence sur les produits et le BAIIA ajusté. Ces énoncés prospectifs se reconnaissent à l’emploi d’expressions prospectives, comme les termes « être d’avis que », « estimer », « planifier », « prévoir », « anticiper », « s’attendre à », « avoir l’intention de », « pourrait », « fera » ou « devrait » ou, dans chaque cas, par leur forme négative ou déclinée autrement ou par une terminologie semblable ou, encore, par des analyses portant sur la stratégie, les plans, les objectifs, les événements à venir ou les intentions.

Par ailleurs, nos évaluations et nos perspectives pour l’exercice 2020 sont réputées constituer de l’information prospective. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Perspectives » pour obtenir de plus amples renseignements concernant nos stratégies, hypothèses et perspectives sur les marchés en ce qui a trait à ces évaluations. À l’heure actuelle, la direction est d’avis que l’atteinte de ces cibles financières est possible, peut être estimée de manière raisonnable et est fondée sur des hypothèses sous-jacentes qu’elle juge raisonnables dans les circonstances, étant donné le temps imparti pour l’atteinte de telles cibles. Toutefois, rien ne garantit que les mesures prises par la Société pour contrer la hausse des coûts des résines et du transport permettront effectivement d’accroître l’efficacité de la production et d’améliorer notre marge du BAIIA ajusté au cours des périodes à venir. En outre, les résultats et le rendement réels futurs pourraient varier des hypothèses que nous présentons à la rubrique « Perspectives » présentée ci-après.

L’information prospective comporte des risques connus et inconnus, des incertitudes et d’autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats ou événements réels diffèrent sensiblement de ceux prévus dans cette information prospective. L’information prospective rend compte des perspectives alors à jour d’IPLP à l’égard des événements futurs formulées en fonction de certains faits et hypothèses significatifs et est assujettie à un certain nombre de risques et d’incertitudes.

L’information prospective est fondée sur certaines attentes, opinions, hypothèses et estimations clés formulées par la Société à la lumière de son expérience et de sa perception des tendances passées, des conditions actuelles et des événements futurs attendus, ainsi que d’autres facteurs que la Société juge appropriés et raisonnables dans les circonstances. Bien qu’IPLP soit d’avis que les attentes, opinions, hypothèses et estimations sur lesquelles cette information prospective est fondée sont raisonnables, on ne devrait pas se fier indûment à cette information prospective puisque rien ne garantit que de telles attentes, opinions, hypothèses et estimations se révéleront exactes.

Toute l’information prospective qui figure dans le présent communiqué de presse est donnée entièrement sous réserve de la mise en garde qui précède et rien ne garantit que cette information se révélera exacte, puisque les résultats réels et les événements futurs pourraient différer considérablement de ceux prévus dans ces énoncés. En conséquence, les lecteurs ne devraient donc pas se fier indûment à l’information prospective. Sauf indication contraire ou si le contexte exige une autre interprétation, l’information prospective qui figure dans le présent communiqué de presse est fournie à la date du présent communiqué de presse et la Société ne s’engage nullement à la mettre à jour ou à la modifier notamment compte tenu de nouveaux renseignements ou d’événements futurs, sauf si la législation en valeurs mobilières applicable l’exige. Nous rappelons également aux lecteurs que les perspectives figurant dans le présent communiqué de presse ne doivent être utilisées qu’aux fins prévues aux présentes ou à cet égard, selon le cas.

Mesures financières non conformes aux IFRS

Le présent communiqué de presse emploie certaines mesures et certains ratios non conformes aux IFRS. La direction a recours à des mesures financières non conformes aux IFRS afin d’établir des comparaisons avec les périodes précédentes, de préparer les budgets d’exploitation annuels et de formuler des prévisions et des projections quant aux perspectives de croissance des résultats. Ces données sont également utilisées par la direction pour évaluer la rentabilité des activités courantes et analyser la situation financière et la performance de l’entreprise et les tendances. Ces mesures ne sont pas des mesures reconnues aux termes des IFRS et n’ont pas de sens normalisé prescrit par celles-ci; il est donc peu probable qu’elles soient comparables à des mesures semblables présentées par d’autres sociétés. Elles sont plutôt présentées à titre de complément aux mesures conformes aux IFRS et visent à favoriser une meilleure compréhension des résultats d’exploitation de la Société du point de vue de la direction. Ainsi, ces mesures ne doivent pas être prises isolément ni être considérées comme un substitut pour l’analyse de notre information financière présentée conformément aux IFRS. IPLP a recours à des mesures financières non conformes aux IFRS, dont le BAIIA ajusté, la marge du BAIIA ajusté, le BAII ajusté, le bénéfice net ajusté, le résultat de base par action ajusté, le résultat dilué par action ajusté, le résultat de base et dilué par action ajusté pro forma, la dette nette, le ratio d’endettement financier, la dette nette ajustée et les flux de trésorerie disponibles ajustés, qui servent à fournir des mesures supplémentaires de sa performance sur le plan de l’exploitation et ainsi mettent en lumière les tendances marquant nos activités principales que les mesures conformes aux IFRS, à elles seules, ne permettraient pas nécessairement de faire ressortir.

Le BAIIA ajusté et le BAII ajusté sont présentés afin d’aider les investisseurs à évaluer la performance financière de la Société et des activités d’exploitation de ses secteurs sur une base uniforme en éliminant des éléments, comme les coûts liés à la réorganisation et à l’intégration des activités, à la restructuration et à l’acquisition, les charges financières et les charges d’impôt, qui ne sont pas représentatifs de la performance opérationnelle de la Société. Le BAIIA ajusté fait également abstraction de certains éléments sans effet sur la trésorerie comme les dotations aux amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles. La marge du BAIIA ajusté constitue une analyse du BAIIA ajusté exprimé en pourcentage des produits. La direction a également recours à ces mesures pour évaluer la performance commerciale sous-jacente des secteurs d’exploitation de la Société. Nous croyons que ces mesures financières sont utiles pour évaluer notre performance sur le plan de l’exploitation d’une période à l’autre puisqu’elles ne tiennent pas compte de certains éléments qui, selon nous, ne sont pas représentatifs de nos activités principales.

Le bénéfice net ajusté aide également les principales parties prenantes à évaluer la performance financière de la Société sur une base uniforme en éliminant du bénéfice net certains coûts non récurrents susmentionnés de même que les dotations aux amortissements des immobilisations incorporelles comptabilisées à l’acquisition de filiales et ajustées de manière à refléter l’incidence fiscale de ces éléments. Le résultat de base et dilué par action ajusté représente une mesure systématique des résultats de la Société qui s’obtient en divisant le bénéfice net ajusté par le nombre moyen pondéré d’actions, avant et après dilution. Le résultat de base et dilué par action ajusté pro forma comprend des ajustements qui font en sorte que toute variation importante du nombre moyen pondéré d’actions est normalisée par rapport aux périodes de comparaison. La dette nette et la dette nette ajustée sont des mesures de l’endettement financier de la Société qui présument que la totalité des fonds en caisse est affectée au remboursement d’une partie de l’encours de la dette. La dette nette ajustée ne tient pas compte de l’incidence de l’adoption de l’IFRS 16, Contrats de location, ni des fluctuations défavorables des cours de change afin d’en assurer la comparabilité avec la mesure présentée pour l’exercice 2019. Le ratio d’endettement financier s’entend du ratio de la dette nette par rapport au BAIIA ajusté des 12 derniers mois qui mesure le nombre d’années qu’il faudrait pour que le BAIIA ajusté de l’entreprise suffise à rembourser intégralement la dette nette. Le BAIIA ajusté des 12 derniers mois s’entend du BAIIA ajusté de l’entreprise des 12 mois précédents et du BAIIA ajusté d’une entreprise acquise pour les mêmes 12 mois, après ajustement pour tenir compte de la période préalable à l’acquisition.
Les flux de trésorerie disponibles ajustés sont une mesure indiquant le montant relatif de la trésorerie qui est générée par la Société au cours de la période et est disponible pour financer les dividendes, les remboursements sur la dette et les acquisitions. Nous croyons que la présentation de ces mesures financières permet aux investisseurs de mieux comprendre notre rendement financier et notre situation financière.

Ces mesures sont définies à la rubrique « Rapprochement des mesures non conformes aux IFRS » du présent communiqué de presse.

La Société croit que la présentation de ces mesures financières permet aux investisseurs de mieux comprendre notre rendement financier et notre situation financière. La Société croit également que ces mesures financières sont utiles pour évaluer sa performance sur le plan de l’exploitation d’une période à l’autre puisqu’elles ne tiennent pas compte de certains éléments qui, selon la direction, ne sont pas représentatifs des activités principales de la Société. Les tableaux plus bas présentent un rapprochement des mesures non conformes aux IFRS utilisées dans le présent communiqué de presse.

Rapprochement du BAII ajusté et du BAIIA ajusté avec le bénéfice net

Le BAIIA ajusté correspond à la perte nette (au bénéfice net) avant l’impôt sur le résultat, les charges financières nettes, la quote-part du bénéfice des entreprises comptabilisées selon la méthode de la mise en équivalence, les coûts liés à la transaction de refinancement, les coûts liés à la réorganisation, à l’acquisition et à l’intégration des activités, les coûts liés au premier appel public à l’épargne et frais connexes, les amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles et les autres produits (charges). Le BAII ajusté correspond au BAIIA ajusté déduction faite des amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles.

  Trimestres clos les
31 décembre
Exercices clos les
31 décembre
(en milliers de dollars) 2019   2018   2019 2018  
Bénéfice net (perte nette) (3 065 ) (1 830 ) 13 857 1 775  
Charge d’impôt sur le résultat (crédit) 409   (2 471 ) 4 032 (8 636 )
Coûts liés à la transaction de refinancement     5 658  
Charges financières (montant net) 3 989   3 658   17 041 16 134  
Autres charges (montant net) 669   242   248 412  
Quote-part de la perte (du bénéfice) des entreprises comptabilisées selon la méthode de la mise en équivalence 360   (462 ) 360 (2 415 )
Bénéfice d’exploitation 2 362   (863 ) 35 538 12 928  
Coûts liés à la réorganisation, à l’acquisition et à l’intégration des activités 2 869   8 541   7 730 14 375  
Coûts liés au premier appel public à l’épargne et frais connexes     9 923  
BAII ajusté 5 231   7 678   43 268 37 226  
Amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles 13 214   9 990   48 191 40 815  
BAIIA ajusté 18 445   17 668   91 459 78 041  


Rapprochement du bénéfice net ajusté, du résultat de base par action ajusté, du résultat dilué par action ajusté et du résultat par action pro forma :

Bénéfice net ajusté, résultat de base par action ajusté et résultat dilué par action ajusté

Le bénéfice net ajusté correspond au bénéfice net avant la quote-part du résultat des entreprises comptabilisées selon la méthode de la mise en équivalence, à la réorganisation, à l’acquisition et à l’intégration des activités, les coûts liés au premier appel public à l’épargne et frais connexes ainsi que l’amortissement des immobilisations incorporelles liées aux acquisitions, les autres charges et l’impôt sur le résultat pour chacun des éléments susmentionnés. Le résultat de base par action ajusté et le résultat dilué par action ajusté sont calculés en divisant le bénéfice net ajusté par le nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation. En ce qui concerne le résultat dilué par action ajusté, le nombre d’actions ordinaires en circulation est ajusté pour tenir compte de l’incidence des options ayant un effet dilutif.

  Trimestres clos les
31 décembre
Exercices clos les
31 décembre
(en milliers de dollars, sauf indication contraire) 2019   2018   2019   2018  
Bénéfice net (perte nette) (3 065 ) (1 830 ) 13 857   1 775  
Coûts liés à la transaction de refinancement       5 658  
Coûts liés à la réorganisation, à l’acquisition et à l’intégration des activités 2 869   8 541   7 730   14 375  
Coûts liés au premier appel public à l’épargne et frais connexes       9 923  
Amortissement des immobilisations incorporelles liées aux acquisitions 1 748   1 647   7 111   6 625  
Autres charges (montant net) 669   242   248   412  
Quote-part de la perte (du bénéfice) des entreprises comptabilisées selon la méthode de la mise en équivalence 360   (462 ) 360   (2 415 )
Impôt lié à chacun des éléments susmentionnés (1 023 ) (2 389 ) (3 145 ) (6 633 )
Bénéfice net ajusté 1 558   5 749   26 161   29 720  
Nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation 54 147   53 477   53 952   45 940  
Résultat de base par action ajusté (en $) 0,03   0,11   0,48   0,65  
Instruments de capitaux propres ayant un effet dilutif – options sur actions 713   635   713   963  
Nombre moyen pondéré d’actions ordinaires (après dilution) 54 860   54 112   54 665   46 903  
Résultat dilué par action ajusté (en $) 0,03   0,11   0,48   0,63  


Résultat de base et dilué par action pro forma

Le résultat par action ajusté pro forma reflète le résultat par action historique révisé selon le nombre d’actions ordinaires en circulation aux dates de clôture respectives des périodes, après prise en compte de l’opération de réorganisation des actions qui a eu lieu le 28 février 2018 dans le cadre de laquelle les titres de capitaux propres des actionnaires minoritaires dans IPL Inc. ont été échangés contre 47 238 242 actions d’IPL Plastics Ltd (« IPL Ltd »). Il tient également compte du plan d’arrangement aux termes duquel les actionnaires ordinaires ont échangé leurs actions contre des actions ordinaires de catégorie B, à raison de cinq actions d’IPL Ltd pour une action ordinaire de catégorie B de Plastiques IPL Inc. Enfin, le résultat par action pro forma rend compte des 14 200 000 actions ordinaires émises à la clôture du premier appel public à l’épargne et du nombre d’actions rachetées aux termes de l’option de rachat.

  Trimestres clos les
31 décembre
Exercices clos les
31 décembre
(en milliers de dollars, sauf indication contraire) 2019   2018   2019 2018  
Bénéfice net (perte nette) (3 065 ) (1 830 ) 13 857 1 775  
Nombre moyen pondéré d’actions ordinaires1) 54 147   53 477   53 952 45 940  
Ajustement pro forma au titre des actions émises lors de la réorganisation des actions1)     1 496  
Ajustement pro forma au titre des actions émises aux termes du premier appel public à l’épargne     6 983  
Ajustement pro forma au titre des actions rachetées aux termes de l’option de rachat     (1 014 )
  54 147   53 477   53 952 53 405  
Résultat de base par action pro forma (en $) (0,06 ) (0,03 ) 0,26 0,03  
Instruments de capitaux propres ayant un effet dilutif – options sur actions1) 713   635   713 963  
Nombre moyen pondéré d’actions ordinaires (après dilution) 54 860   54 112   54 665 54 368  
Résultat dilué par action ajusté pro forma (en $) (0,06 ) (0,03 ) 0,25 0,03  

1) Compte tenu du plan d’arrangement aux termes duquel les actionnaires ordinaires ont échangé leurs actions contre des actions ordinaires de catégorie B, à raison de cinq actions ordinaires d’IPL Ltd pour une action ordinaire de catégorie B d’IPL Plastics Inc.

Résultat de base et dilué par action ajusté pro forma

Le résultat par action ajusté pro forma correspond au bénéfice net ajusté divisé par le même nombre pro forma d’actions ordinaires en circulation. En ce qui concerne le résultat dilué par action pro forma et le résultat dilué par action ajusté pro forma, le nombre d’actions ordinaires en circulation est ajusté pour tenir compte de l’incidence des options ayant un effet dilutif.

  Trimestres clos les
31 décembre
Exercices clos les
31 décembre
(en milliers de dollars, sauf indication contraire) 2019 2018 2019 2018  
Bénéfice net ajusté (perte nette ajustée) 1 558 5 749 26 161 29 720  
Nombre moyen pondéré d’actions ordinaires1) 54 147 53 477 53 952 45 940  
Ajustement pro forma au titre des actions émises lors de la réorganisation des actions1) 1 496  
Ajustement pro forma au titre des actions émises aux termes du premier appel public à l’épargne 6 983  
Ajustement pro forma au titre des actions rachetées aux termes de l’option de rachat (1 014 )
  54 147 53 477 53 952 53 405  
Résultat de base par action ajusté pro forma (en $) 0,03 0,11 0,48 0,56  
Instruments de capitaux propres ayant un effet dilutif – options sur actions1) 713 635 713 963  
Nombre moyen pondéré d’actions ordinaires (après dilution) 54 860 54 112 54 665 54 368  
Résultat dilué par action ajusté pro forma (en $) 0,03 0,11 0,48 0,55  

1) Compte tenu du plan d’arrangement aux termes duquel les actionnaires ordinaires d’IPL Ltd ont échangé leurs actions contre des actions ordinaires de catégorie B, à raison de cinq actions ordinaires d’IPL Ltd pour une action ordinaire de catégorie B.

Rapprochement de la dette nette

Le tableau qui suit présente la dette nette de la Société à la clôture des périodes indiquées. La dette nette s’entend des prêts et emprunts, des obligations locatives et des billets convertibles moins la trésorerie et les équivalents de trésorerie. La définition de la dette a été modifiée au deuxième trimestre de 2019 de manière à inclure les obligations locatives comptabilisées à l’adoption de l’IFRS 16, Contrats de location. Ces obligations locatives ne sont pas incluses dans la dette nette présentée pour l’exercice 2018, et elles représentaient une dette additionnelle de 22,4 millions de dollars au 31 décembre 2019.

  Au 31 décembre   Au 31 décembre  
(en milliers de dollars) 2019   2018  
Prêts et emprunts 349 708   258 431  
Obligations locatives 24 068   544  
Billets convertibles 1 393   1 420  
Trésorerie et équivalents de trésorerie (77 731 ) (49 857 )
Dette nette 297 438   210 538  

Ratio d’endettement financier

Le tableau suivant présente le ratio d’endettement financier de la Société aux dates de clôture indiquées. Le ratio d’endettement financier s’entend du ratio de la dette nette par rapport au BAIIA ajusté des 12 derniers mois, y compris la période préalable à l’acquisition de Loomans, au 31 décembre 2019.

  Au 31 décembre Au 31 décembre
(en milliers de dollars) 2019 2018
Dette nette 297 438 210 538
     
BAIIA ajusté présenté pour l’exercice complet 91 459 78 041
BAIIA de Loomans pour la période préalable à l’acquisition 1 970
BAIIA ajusté des 12 derniers mois 93 429 78 041
Ratio d’endettement financier 3,18 2,70

Sur une base comparable, compte non tenu de l’incidence de l’adoption de l’IFRS 16, Contrats de location, et des fluctuations défavorables des cours de change pour l’exercice 2019, notre ratio d’endettement financier a été porté de 2,70 au 31 décembre 2018 à 3,04 au 31 décembre 2019, surtout sous l’impulsion de l’acquisition de Loomans.

  Au 31 décembre   Au 31 décembre
(en milliers de dollars) 2019   2018
Dette nette 297 438   210 538
Obligations locatives aux termes de l’IFRS 16 (22 412 )
Conversion des monnaies étrangères (3 150 )
Dette nette ajustée 271 876   210 538
     
BAIIA ajusté 91 459   78 041
BAIIA de Loomans pour la période préalable à l’acquisition 1 970  
Avantage de l’IFRS 16 sur le BAIIA (3 992 )
BAIIA ajusté des 12 derniers mois 89 437   78 041
Ratio d’endettement financier 3,04   2,70

Rapprochement des flux de trésorerie disponibles ajustés

Les flux de trésorerie disponibles ajustés représentent les flux de trésorerie qui sont générés par les activités d’IPLP et qui sont disponibles aux fins de réinvestissement ailleurs, y compris aux fins du remboursement anticipé de la dette. Ils représentent les sorties nettes de trésorerie liées aux activités d’exploitation, moins les montants payés au titre des charges financières et de l’investissement de maintien, auxquels ont été rajoutés les coûts liés à la réorganisation, à l’acquisition et à l’intégration des activités payés, abstraction faite des coûts liés aux activités d’investissement et de financement, mais compte tenu, pour les périodes antérieures, du paiement des coûts liés au premier appel public à l’épargne et frais connexes ainsi que des autres montants (reçus) payés au titre des (produits) charges.

  Trimestres clos les
31 décembre
Exercices clos les
31 décembre
(en milliers de dollars) 2019   2018   2019   2018  
Entrées nettes de trésorerie liées aux activités d’exploitation 54 011   21 835   89 317   18 669  
Paiements au titre du premier appel public à l’épargne et des frais connexes   2 564     9 923  
Coûts liés à la réorganisation, à l’acquisition et à l’intégration des activités payés (à l’exclusion des coûts liés à l’investissement et au financement) 560   3 961   8 480   8 092  
Autres charges (montant net) (323 ) (150 ) (164 ) (205 )
Entrées nettes de trésorerie ajustées liées aux activités d’exploitation 54 248   28 210   97 633   36 479  
Investissement de maintien (3 238 ) (1 661 ) (12 778 ) (8 672 )
Charges financières payées (4 056 ) (3 549 ) (16 500 ) (13 770 )
Flux de trésorerie disponibles ajustés 46 954   23 000   68 355   14 037  

Demandes des investisseurs

Personne-ressource
Paul Meade, directeur, Relations avec les investisseurs, +353 87 0655368

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